Mon arrivé ici [libre]

Enfin elle avait trouvée un endroit ou elle pourrait mener une vie a peu prêt tranquille.Elle avait tout de même hésiter avant de s'engoufrer dans le batiment. Kama était maintenat seule dans ce grand hall ,son sac sous le bras.Perdue,elle jettait des regards tristes d'un coté puis de l'autre.
Elle avança de quelques mètres,ses pas résonnaient sur le carrelage luisant qui refletait son ombre difforme sur toutes sa surface brillante.A droite,les toilettes des filles,a gauche ceux des garçon dont la porte étaient couverte de graphitis et de vieux chwingum.Elle passa ses longs doigts,fin et blanchâtre dans ses cheuveux enmélés essayant de ce repeigner du mieux qu'elle le pouvait,épousseta sa robe blanche.Tout était si calme ici ,loin du tumulte incessant de la ville,de ses contraintes et de ses dangers permanents.
Elle leva les yeux pour examiner le plafond même si cela n'avait pas de sens.Il était gris,constellé de petites taches noirs semblables a des étoiles ternes qui n'illuminent qu'elles même.
Kama éprouvait une certaine mélancolie en observant ces lieux.Celà lui rapellait vaguement son ancienne école.

*Arrete de pensée au passé,nous allons vers l'avenir*se disait-ellle sans trop y croire.

Même si celà faisait trois ans qu'elle était partit de chez elle,ses souvernirs semblait dater d'il y a à peine quelques secondes.
Elle revit les têtes de ses parents dans son esprit puis celle de ses rares amis et enfin ...Celle de son frère.Elle ne pu s'empêcher de fondre en larmes, tombant a genoux sur le sol glacé.

Comme à son habitude, Nimiki fit une petite promenade de quelques minutes et passa par le hall. Les élèves se faisaient rare mais cela devait être normal, après tout, qui ne faisait pas de sieste à 15h00 de l'après midi ! Sauf que dormir, la jeune fille ne pouvait même pas y penser. Rien que de s'imaginer étendue sur un lit presque morte la fit frémir. Les couloirs ne changeaient pas, toujours avec cette couleur jaune pâle, très laide, cela devenait lassant, même trop lassant. Vivement le changement dans cet établissement! En ce moment, le pensionnat étai à court de personel, ce qui était embêtant, quoi que le directeur a prit une petite ou grosse pause et s'en fiche un peu.
Avec une petite nostalgie, la jeune fille frdonna une chanson en pensant au professeur de musique qui allait arriver et à la salle qui était en construction. Maintenant, elle était professeur de Français, et adorait son métier.
Non loin, plus au fond, une jeune fille avait le regard vide et contemplait les alentour, avec ce moche plafond.

"Bonjour jeune fille. Tu es nouvelle?"

* Que devais-je faire après être allée voir le professeur de musique...*

Comment pouvait-on se battre contre sois même ou contre ses pensé? Néanmoins, il vallait mieux tenter la chose. Ses yeux s'assombrirent mais elle se reprit et leva la tête, bien droite, et le regarda dans les yeux. L'élève était à ses côté, esperons que personne n'ai remarqué. Mais comment pouvait-on s'emporter pour des détails?
Comme a dit l'adage: "Ce n'est pas en se préoccupant de petits détails qu'on avancera pas dans la vie."
Non il n'avait pas dit cela, puisque il n'a jamais existé, le professeur se perdit un peu nulle part et revint à la surface, remarquant qu'il y avait un courant d'air qui venait d'une petite fenêtre. Elle alla la fermer et respira un bon coup, comme si c'était la dernire fois, comme si...

* Oh oui aller voir le professeur d'Art.*

Les deux professeurs avaient étaient choisient pas plus tard qu'hier, car le Lycée était tout nouveau et sentait la peinture fraîchement peinte, qui n'était pas désagréable. Heureusement, un doux parfum se propagait dans toute la piece et se mêlé aux couleurs des murs, qui sentaient toujours aussi fort "la peinture". Pour se remettre à l'aise, la jeune femme toussa un bon coup en prenant grand soin de mettre sa main devant la bouche et ses cheveux partirent en avant, comme si on l'a poussé. Peut-être couvrait-elle quelque chose, peut-être pas? Mais avec tous ces courant d'air, comment pouvait-on rester à l'abri des maladies...surtout quand il y aura beaucoup d'élèves. Rien que de penser à la chaleur humaine, cela lui donna la nausé...toucher un humain, quel dégoût! Cette transpiration, cette odeur, cette peau visqueuse!

*Je m'emporte là.*

Puis elle se rassura toute seule, commme une enfant dans le noir qui serre son doudou.

Cet établissement semblait correct,quoi que quelques petits travaux n'auraient pas été de trop ici.Il allait faloir se trouver une chambre et cela ne devait pas être une tache facile.Soudain une voix la tira hors de ses pensées:

"Bonjour jeune fille. Tu es nouvelle?"

Une jeune femme,vetu de noir de la tête au pied lui avait adresser la parole.

*Il doit sagir d'une professeur*

Elle lui répondit donc poliment,d'une voix douce:

"Oui madame,je viens d'arriver.Je m'appelle Kama,et j'espère ne pas vous déranger en vous demandant de m'aider à chercher uune chambre"bredouilla-elle,en essayant de braver sa timiditer.

Les yeux cernés de noir de la jeune femme laisser penser qu'elle était gothique,son allure également.
Reprenant sa comtenplation du mur car elle n'osait pas regarder la professeur dans les yeux,elleaperçut de nouveaux les grafitis malsain,trantait les gens de toutes sortes de noms infames
Elle avait envie de chanter,mais étant donner les circonstance dans lesquelles elle se trouvait elle pensa qu'elle ne pouvait pas se le permettre.

La jeune fille mit un temps avant de répondre et puis parla avec facilité en butant surs deux trois mots mais en se reprenant le plus vite possible. C'était comme une chanson, un bercement, qu'o disait au silence, pour ne pas qu'il s'arrête. Les couleurs des murs virèrent au rouge, bleu et jaune, donnant l'impression d'un arc en ciel, de voir toutes les merveilles de la vie, les merveilles cachées par des moments de douleur, cachées par des obstacle. Son pou devint plus fort mais ne se fit pas entendre, on le sentait juste, si on touchait son poignet, comme un os qui restait coincé, comme quelqu'un dui frappait.
Repprenant peu à peu ses esprit pour reparler à la jeune fille, Nimiki se secoua la tête, et ses cheveux firent une petite ronde qui illumina les coins les plus sombres, grâce à la lueur de la lumière, et de ce halo de couleur, qu'elle seule voyait, peut-être...
Maintenant, son ventre criait famine, et celle-ci avait drôlement faim, cela la creusait vraiment.

*Après tout cela, mes rendez-vous...J'irais manger!!*

Sous une pensée qui l'encouragait à aller plus vite et lui redonner goût à la vie, ses membres s'agitaient quand elle parla, comme une itallienne en pleine action, en plein concour. C'était beau à voir, semblable à ce que je ne pourrais vous expliquez, mais que vous interpretez par vous-même, il suffit d'imaginer un peu...

"Nous y allons de ce pas. Je te conduit à ton dortoir, dans ta nouvelle chambre."

Puis elle se tourna et fit demi tour, faisant signe à la fille de la suivre. Les marches n'étaient pas trop grande et en quelques secondes, elles furent vite sur le premier palier, posant leur pied bien à plat, et pourtant à 20 mètres du sol.
Avec un élancé de mot, la femme demanda.

"Oh fait. Je ne me suis aps présentée. Nimiki Zusaki, professeur de français."

Puis elle se tourna vers une porte et l'ouvrit.

"Voici les dortoirs!"

Des multiples de portes étaient positonés les unes à côté des autres.

"Voici ta chambre."

Elle se tourna vers la jeune fille en ouvrant la porte. Un sourire aux lèvres apparut et se dissimula peu après. Il faisait trop chaud dans cette piece, si bien qu'il fallait aérer ou friser l'asfixie, on avait le choix. Sur ce, le professeur alla ouvrir une fenêtre et ajouta:

"Fais comme chez toi! Ce n'est pas bien grand, mais c'est assez pour que tu te sente bien!"

"Fais comme chez toi! Ce n'est pas bien grand, mais c'est assez pour que tu te sente bien!"

Cétait vraiment gentil de la part de cette professeur de m'accompagner vers son nouveau "Chez soi" comme elle disait.Ce lieu était simple et petit mais celà lui plaisait elle n'avait pas besoin de plus ni de moin.Les draps blancs ne semblait avoir jamais été utilisés,ils sentaient le neuf et le propre.Deux lits superposés était disposer de part et d'autre du minuscule dortoir.Kama se dirigea vers la couchette du bas et y déposa ses affaires.Puis elle remercia poliment la jeune-femme:

"Merci mademoiselle Zusaki de m'avoir aider à trouver se dortoir,je crois que je mit sentirais très bien"

Elle parlait du fond du coeur néanmoins sa voix était trébuchante et enrouée.Elle toussa un grand coup pour se dégager les bronches.Ensuite elle questionna Nimiki:

"Cela fait-il longtemps que vous einseigner ici professeur ?"